isabel Asúnsolo

isabel aux Sardines à la plage, Lancieux. (photo E.H.)

J’ai toujours écrit en espagnol et français, mes deux langues. Née à Madrid, ingénieure agricole, chauffeuse de camions de betteraves, prof de Sciences et de langues, j’ai créé L’iroli en mai 2005. Aujourd’hui, j’anime des ateliers autour de mon poème préféré : le Haïku. J’y ajoute le dessin tremblé. C’est l’Etegami (voir Ateliers).

J’ai publié Le Haïku en herbe, La Magie du Haïku et Mes premiers haïkus pour bien grandir (Leduc.s). Je participe à la rédaction de la revue Gong de l’AFH depuis bientôt 20 ans. Plusieurs de mes poèmes sont semés dans des ouvrages collectifs comme Nos jardins secrets chez Cours Toujours, Faut-il noyer le poisson? (haïkus et aphorismes) avec François David à Eclats d’Encre, Compost de haïkus aux éditions Napodra, Nuits aux bords de l’O., avec Eric Hellal (AFH).

Dans mon premier roman, La Fleur de Chiyo (Henry, épuisé) chaque chapitre est précédé d’un haïku de Chiyo-ni, poétesse japonaise du 17è siècle ; il y est question de liserons interdits. Le rayon du bas est un roman à huit mains sur une bibliothécaire audacieuse. Noé sur la falaise est l’histoire (riche en mots en « f »!) d’un poète étranger en Picardie.

Devenue apicultrice avec mon abeiller, j’écris sur les abeilles et les fleurs dans Haïkus d’abeilles – haikus de abejas, (Pré du Plain, 2024). Vient de paraître, en 2025 : Saïjiki francophone avec plusieurs de mes haïkus (Eds. Unicité). Pendant 3 ans, j’ai animé par visioconférence un kukaï bilingue au Japon, avec Shihori TADANI.