… À une table de la rue Villiers de l’Isle Adam. Avec sa chienne Hermine, nous allions prendre un café tous les lundis matins, parlions de poésie. Je l’accompagnais pour l’aider à mettre en marche les machines du Lavomatic. Nous sommes devenus amis. Pendant 7 ans, il m’a écrit un poème à la main qu’il m’a envoyé par la Poste. J’en ai certains publiés dans Poèmes au Tournesol. J’aimerais en faire un autre livre, un jour. Le 25 mars 2013, jour de sa mort, mon vieux prunier a fleuri de bas en haut. Je ne peux toujours pas rentrer dans le café des Halles où il déjeunait tous les midis. (Paroles de son éditrice et amie).